• Élaborer un schéma de développement communal tendant à limiter les expansions urbaines. Ce schéma doit faire l’objet d’une analyse raisonnée dans le respect de la qualité de vie du citoyen.
• Prendre toutes les dispositions nécessaires et légales afin d’interdire la construction d’habitations ou de bâtiments divers en zones inondables.
• Réaliser un cadastre permettant de distinguer les espaces réservés exclusivement à l’environnement et les zones d’aménagement urbaines.
• Mettre en place d’un règlement communal visant à promouvoir la construction d’habitations passives au travers de primes communales.
• Avant tout travaux impactant les voiries et les trottoirs, organiser une communication aux riverains comportant une autorisation écrite de la ville ainsi qu’un état des lieux avant et après les travaux.
• Bâtir un nouveau dépôt communal digne d’une ville comme Tubize.
  

Donner plus de place aux plantes et arbres dans les infrastructures urbaines, permettant d’atténuer bruits et températures extrêmes.

• Végétaliser les espaces de vie existants (parkings, places, espaces publics, trottoirs, îlots, ronds-points…). Créer des espaces verts suspendus sur les façades de bâtiments communaux, le centre culturel, les centres sportifs… 
• Espace potagers : création de plusieurs espaces collaboratif dans la ville et exploiter les espaces existants, encadrés par une ASBL composée de personnes expérimentées et en collaboration avec les professionnels du secteur.
• Identifier et proposer, en concertation avec les citoyens, de nouveaux espaces dans les différentes entités qui seront destinés à la création de zones de biodiversité.
• Créations d’îlots de fraîcheur, aménagements de promenades en centre-ville et dans les parcs existants (Bayard, Massart, St Jean, Étangs de Coeurcq…) afin de proposer un maximum d’accès « nature » au public.
• Les parcs existants feront l’objet de réaménagements importants afin d’ offrir des accès « nature » agréables dédicacés à la promenade, à la flânerie, au lâcher prise.
• Faire de nos campus scolaires des oasis de verdure et  les utiliser comme outils de durabilité et de bien-être.
• Mise en place de nouvelles plaines de jeux élargies, d’espaces récréatifs plus grands, accessibles aux personnes à mobilité réduite, mieux entretenus et surveillés.

Aujourd’hui, le changement climatique est l’un des plus grands défis de notre société. Nous avons tous un rôle à jouer, des actions concrètes sont clairement à mener.  

Le RC veut y contribuer en bâtissant une ville durable et agir quotidiennement pour diminuer son empreinte carbone, et faire de Tubize une ville pilote en matière de communauté d’énergie.

• Compenser les émissions de carbone de la ville émises par les bâtiments communaux et les déplacements des employés communaux. 
• Mettre en place un programme environnemental. Les bâtiments communaux seront équipés afin de pouvoir consommer 100% d’énergie renouvelable locale.
• Lancement d’un projet à long terme de production d’énergie renouvelable s’appuyant sur nos spécificités géographiques locales (canal, rivières, air) via des partenariats privés et universitaires..
• Rénover de manière écologique les infrastructures scolaires, culturelles et sportives visant des bâtiments CO2 neutres.

La prévention et la gestion des risques d’inondations doit devenir une “culture citoyenne” et mobiliser les différents acteurs communaux, provinciaux et régionaux. 

En effet, le risque zéro n’existe pas ! Des choses ont été faites, mais ce n’est pas suffisant. Il faut anticiper les risques futurs en analysant et en comprenant le présent. 

• Création d’une cellule citoyenne représentant les différents quartiers et habitants touchés lors des inondations afin de faire remonter leurs expériences, constatations, besoins et ainsi accélérer la mise en place de solutions.
• Respect scrupuleux du plan de prévention des inondations et des recommandations fixant les travaux d’amélioration et d’assainissement et d’entretien des voiries, avaloirs (fossés/saillies le long de routes)
• Vérifier et suivre l’exécution des diverses actions attendues des villes de Braine-le-Château, Braine-l’Alleud et Rebecq soient bien exécutées.
• Mise en place avec la Région flamande d’une procédure permettant de gérer la problématique de la vanne sur la Senne située à Lembeek-Halle.
• Élaboration d’une cartographie complète sous forme d’un cadastre de toutes les zones (habitations, voiries, réseaux d’égouttages, voies agricoles) concernées par les risques d’inondations.
• Relance de la proposition visant à transformer la « prairie des angles”  en espaces de zones humides, pontons en bois, marais, ZIT de 180.000 m3, étangs dédicacés à la biodiversité. (cf. article Le Soir 28.11.2017)